Suez environnement ::: SUEZ ENVIRONNEMENT SIGNE UN ACCORD DE COLLABORATION DE RECHERCHE AVEC LE DANISH HYDRAULIC INSTITUTE ET LA NANYANG TECHNOLOGICAL UNIVERSITY POUR OPTIMISER LES STATIONS DE TRAITEMENT DES EAUX USÉES ET DEVELOPPER LA STATION À ÉNERGIE POSITIVE

SUEZ ENVIRONNEMENT, le Danish Hydraulic Institute (DHI) et la Nanyang Technological University- Singapour (NTU) ont signé un accord de collaboration de recherche. Cet accord intervient dans le cadre du projet de Recherche et de Développement Energy+ supporté par le Public Utility Board (PUB) de Singapour.

LE PROJET ENERGY+ : VERS UNE STATION DE TRAITEMENT DES EAUX USEES A ENERGIE POSITIVE
Le Public Utility Board (PUB)[Tout comme l’agence nationale de l’eau, le PUB est chargé de la collecte, de la production, de la distribution et de la gestion de la demande en eaux à Singapour.] de Singapour lance un programme de recherche subventionné à hauteur de 2 millions d’euros afin de développer un nouveau concept pour optimiser les stations de traitement des eaux usées existantes et leur permettre d’évoluer vers des stations à énergie positive, produisant plus d’énergie qu’elles n’en consomment.

Ce programme de recherche, d’une durée de 3 ans, propose de tester une nouvelle filière de traitement des eaux usées associant des systèmes de traitement intensif par boues activées, couplés à une production accrue de biogaz par digestion anaérobie. L’autosuffisance de la station passe par une meilleure efficacité énergétique de l’installation alliant réduction des consommations d’énergie dans la filière eau et par une augmentation de la production d’énergie dans la filière boue.

SUEZ ENVIRONNEMENT apporte dans ce projet son expertise et son savoir-faire en particulier au niveau de la filière boue. Ce projet, s’appuyant sur des essais pilotes à l’échelle semi-industrielle, est réalisé sur la station « Kranji Water Reclamation Plant » appartenant au PUB.
Cette approche innovante vers la station d’épuration à énergie positive sera développée à terme sur les usines de traitement d’eaux usées existantes de Singapour et pourra être transposée aux stations de traitement des eaux usées d’autres pays du Sud-Est asiatique.

SIGNATURE DE L’ACCORD DE COLLABORATION DE RECHERCHE DURANT LA SINGAPORE INTERNATIONAL WATER WEEK
La signature de l’accord de collaboration de recherche entre SUEZ ENVIRONNEMENT et ses partenaires sur le projet Energy+, le Danish Hydraulic Institute et la Nanyang Technological University s’est déroulée lors de la Singapore International Water Week en la présence de Paul-Joël Derian, Directeur de la Recherche, Innovation et Performance de SUEZ ENVIRONNEMENT, Ole Larsen, Directeur du Danish Hydraulic Institute à Singapour et Jern Wun Ng, Directeur du Nanyang Environment & Water Research Institute.

À propos de DHI
DHI est une organisation internationale indépendante de conseil et de recherche. Notre objectif : faire progresser le développement technologique et les compétences dans les domaines de l’eau, l’environnement et la santé. Basée au Danemark, DHI a installé son siège pour la région Asie-Pacifique à Singapour et son effectif local a atteint 220 personnes. DHI s’est associée avec la Nanyang Technological University pour former en 2007 le DHI-NTU Water & Environment Research Centre and Education Hub (DHI-NTU Centre) avec le soutien de l’EWI.

À propos du Centre de recherches biotechnologiques et environnementales avancées de la Nanyang Technological University – Nanyang Environment & Water Research Institute (NTU AEBC-NEWRI)- SINGAPOUR
Lancé officiellement le 10 mai 2010, l’AEBC est le tout dernier pôle d’excellence de la NEWRI et bénéficie du soutien de l’EWI/EDB. Sa plate-forme regroupe des connaissances solides en biologie environnementale et biotechnologie est s’appuie sur une grande expertise en matières de bioprocédés technologiques. L’AEBC vise à répondre aux questions nationales et mondiales liées à l'augmentation de la demande en eau potable, au meilleur traitement des eaux usées et des déchets, à une meilleure gestion de la ressource hydrique ainsi qu'à la conservation des écosystèmes en danger. L’un de ses principaux objectifs est de combler les écarts de connaissances existant entre les biosciences et l’ingénierie des biosystèmes pour améliorer le passage des connaissances académiques vers les applications industrielles.


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