Waternunc.com, le réseau des acteurs de l'eau
Here, Web is good for your business Votre publicité sur le Net : c'est ici !
Annuaires Nouveaux produits Marketplace Ressources Actualités
Home
Services
Notre offre



[ Waternunc.com vous en dit plus




]






  Retour sommaire

Revue de presse internationale hebdomadaire
semaine N°1 du 2 au 9 janvier 2005
Zone géographique
Pays / ville

                                   Informations
                                  
(triées par date)

  Vietnam
  Hanoi
7 janvier 2005- Eau potable pour 70% des urbains
En 2004, le pays a réalisé chaque jour une capacité d'alimentation en eau potable de 3,7 millions de m3, en hausse de 13,5 % par rapport à 2003. Cela a assuré l'alimentation pour 70 % des habitants urbains avec une capacité journalière de 70 litres par tête.
Le pays déploie actuellement 170 projets d'approvisionnement en eau dans les zones urbaines, d'un investissement total de 15.000 milliards de dongs. Le système de conduite d'eau a été installé dans tous les villes et chef-lieux du pays.
En 2004, 3 millions d'habitants à la campagne supplémentaires ont eu accès à l'eau potable, contribuant à porter le taux des ruraux alimentés à 58 %, selon le ministère de l'agriculture et du développement rural. Pour 2005, le ministère envisage de porter ce taux à 62 %.
Source : Agence Vietnamienne d'Infomation, l'article

  Asie
  Sud
7 janvier 2005- Urgence pour les survivants du tsunami
Désinfecter l'eau à l'aide de comprimés et fournir aux survivants des sanitaires, même rudimentaires, restait vendredi (7 janvier) l'objectif numéro un des équipes de secours qui veulent à tout prix éviter les épidémies après les ravages causés par le séisme et le tsunami du 26 décembre en Asie.
Des cas sporadiques de diarrhée ont été rapportés dans les zones ravagées par le tsunami, notamment en Inde, au Sri Lanka, et en Indonésie, mais il ne s'agit ni de choléra ni de toute autre épidémie redoutée.
Le nombre de réfugiés dans la zone touchée par le tsunami est estimé à trois à cinq millions de personnes. Dans les camps du Sri Lanka, les bénévoles creusent des fosses qui servent de latrines aux réfugiés, mais la montée des eaux rend l'opération difficile dans certaines secteurs.
Des campagnes de vaccination contre la rougeole sont en cours dans ces régions, et des moustiquaires sont distribuées de manière à réduire le risque de malaria et de dengue, deux maladies potentiellement épidémiques dues aux piqûres de moustiques qui pullulent dans les eaux stagnantes.
Source : Le Matinternet, l'article

  Nigeria
  Lagos
7 janvier 2005- L'eau, à quel prix ?
A Agege, une banlieue de la capitale économique du Nigeria, Lagos, du matin au soir, des gens munis de seaux et de bidons font la queue pour acheter de l'eau provenant d'un puits artésien. La priopriétaire affirme : "C'est plus qu'une entreprise, c'est un service. Les gens me supplient de leur vendre de l'eau".
Cette histoire se répète ailleurs à Lagos, la plus grande métropole du Nigeria, où l'eau potable se fait rare. Plus de la moitié des 15 millions d'habitants de la ville n'a pas accès à l'eau potable. Une croissance rapide de la population ne promet que l'exacerbation de ces pénuries d'eau. Selon les Nations Unies, la population de la ville passera à 24 millions au cours de la prochaine décennie, faisant de Lagos la troisième plus grande ville au monde.
C'est la "Lagos Water Corporation", agence gouvernementale, qui est responsable de la fourniture de l'eau aux habitants de Lagos. Les autorités étatiques auront besoin d'environ deux milliards de dollars pour fournir de l'eau à la population de la ville d'ici à 2015.
A cause des contraintes budgétaires, les responsables de l'Etat de Lagos se sont adressés au secteur privé pour fournir de l'eau aux habitants de la ville. Une loi, qui permet aussi bien aux firmes locales qu'étrangères d'investir dans les services de l'eau, a été votée en novembre de l'année dernière.
"Si vous voulez amener l'eau aux plus pauvres dans n'importe quelle société, si vous la traitez comme un bien économique, vous ne pourrez pas, en fin de compte, la leur faire parvenir parce qu'ils n'ont pas les moyens de payer" explique un analyste de "Country Water Partnership", la filiale nigériane du "Global Water Partnership".
Source : Inter Press Service, l'article

  Maroc
  Agadir
2 janvier 2005- Projets dans l’eau et l’assainissement
Plus de 300 millions de DH seront investis en 2005 par la Régie autonome multiservices d’Agadir (RAMSA) dont 64 millions de DH pour le volet eau. Il s’agit d’améliorer les prestations de services au niveau de la distribution d’eau potable à travers la mise en place d’une télégestion du réseau ainsi que d’une gestion commerciale intégrée, de l’adduction dans les quartiers périphériques de 35.000 logements au réseau de distribution d’eau et d’assainissement ainsi que la construction de nouveaux réservoirs d’eau potable. Le Grand Agadir en compte 12 pour le moment, 3 supplémentaires sont prévues à Agadir et un à Aourir qui sera approvisionné du barrage Amir My Abdallah à partir de juin 2006 grâce aux adductions mise en place par l’Onep.
L’aménagement de l’émissaire sud en mer au cours de cette année est réalisé par un groupement d’entreprises franco-marocain, la Somagec et Géocéan, pour un montant de 89 millions de DH. Une fois mise en service, cette tranche «d’urgence» permettra entre autres d’acheminer les eaux usées de la ville d’Agadir et des centres périphériques sud. Ces effluents seront transférés vers le site de M’zar où ils feront l’objet de traitements primaires avant d’être rejetés en mer.
Le montant des travaux de la tranche d’urgence cofinancée par la Ramsa, la Banque européenne d’investissement (BEI), l’Agence française de développement (AFD) s’élève à 500 millions de DH. La deuxième tranche qui sera finalisée à l’horizon 2010 nécessitera une enveloppe de 750 millions de DH.
Source : L'Économiste, l'article


Haut de page

rect rect rect rect rect rect rect rect rect
© Waternunc.com MMV