7 novembre 2004- Le Château N°10 inauguré à Lazaré (eau potable)
Dans le cadre de la réalisation du programme « l’Eau Potable pour Tous d’ici 2010 », la Spen (société de patrimoine des eaux du Niger) a procédé à l’inauguration du château N°10 de Niamey.
Les travaux de ce projet d’amélioration et d’extension aux quartiers périphériques des installations de distribution d’eau potable de la ville de Niamey zone 7 ont pris fin en septembre dernier. Ce projet a pour objet de renforcer et de développer le système actuel d’alimentation en eau potable de la ville de Niamey.
Les quartiers concernés par ce projet sont : Bobiel, Lazaret, Banizoumbou, Kouaramé, Couronne-Nord, Cité Caisse, Banifandou 1 et 2, Koubia, Cité de la Francophonie, Dar Es Salam Soit une population d’environ 200.000 Habitants.
Le contrôle et la surveillance des travaux sont assurés par le Bureau d’Etudes TRACTEBEL Engineering pour un montant de 260.768.569FCFA.
Source : Libération-Niger, l'article

5 novembre 2004- Construction d'une usine de filtration pour l'eau potable
la Municipalité des Méchins bénéficiera d'une aide financière gouvernementale de 3 334 496 $ dans le cadre du programme d'infrastructures Québec-Municipalités. L'aide accordée permettra la construction d'une nouvelle usine de traitement de l'eau potable par filtration membranaire d'une capacité nominale de 1 360 mètres cubes par jour.
Les travaux prévus comprennent principalement l'aménagement d'une nouvelle prise d'eau dans la rivière des Grands Méchins, la mise en place de deux conduites d'amenée d'eau distinctes de 55 mètres de longueur, l'implantation d'une usine de filtration membranaire complète avec système de désinfection au chlore et réserve d'eau traitée de 220 mètres cubes et le raccordement au réseau d'aqueduc de la municipalité.
Le projet permettra une mise aux normes des infrastructures d'approvisionnement en eau potable de la Municipalité des Méchins et une amélioration de la qualité de l'eau de consommation. Ces travaux bénéficieront à plus de 1 000 personnes.
Source : Gouvernement du Québec, l'article

5 novembre 2004- Modification du règlement sur l'eau potable ?
Le ministère de l'Environnement du Québec permettra bientôt aux établissements touristiques, comme les terrains de camping, les gîtes du passant ou les haltes routières, d'offrir à leurs clients de l'eau non potable, à condition de les prévenir et qu'ils l'indiquent à l'aide d'un pictogramme.
Cette décision fait suite aux doléances de nombreux établissements touristiques, qui soutiennent que le respect des nouvelles normes sur l'eau potable, entrées en vigueur il y a trois ans, coûte trop cher.
Le directeur des politiques de l'eau affirme que le changement de la réglementation est un juste milieu. Sinon, il aurait fallu fermer tous les campings, toutes les pourvoiries, et sans doute de nombreuses haltes routières du gouvernement qui n'offrent pas, elles non plus, d'eau potable.
L'ex-ministre Paul Bégin, qui avait fait adopter les nouvelles normes, n'est pas d'accord. Il rappelle que la réglementation a été adoptée à la suite de la tragédie de Walkerton, en Ontario, où sept personnes sont mortes et plus de 2300 ont été malades après avoir bu de l'eau contaminée.
Source : Radio Canada, l'article

3 novembre 2004- Assemblée mondiale des acteurs de l`eau à Dakar
L`Organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal (OMVS) organise du 3 au 6 novembre à Dakar la première assemblée mondiale des commissions internationales et des organismes de bassins transfrontaliers.
Cette rencontre, qui regroupera une centaine d`experts de haut niveau ainsi que des partenaires financiers, a pour objectif de permettre des échanges entre organisations en charge des questions de gouvernance de l`eau en Afrique et dans le monde. Elle permettra également aux responsables des organisations de bassin et des administrations nationales impliquées dans la question de l`eau de mieux se connaître et d`échanger leurs expériences concrètes de terrain, de comparer leurs approches et méthodes et ainsi de faciliter la création et le renforcement des moyens les mieux adaptés pour une meilleure Gestion intégrée des ressources en eau (GIRE).
Source : Angolapress, l'article

1^er novembre 2004- Des citoyens poursuivent leur municipalité pour eau non potable
Des citoyens demandent l'autorisation d'intenter un recours collectif contre leur propre municipalité, Saint-Gabriel-de-Brandon, pour une somme d'au moins 19 millions $, parce que les autorités ne peuvent leur offrir de l'eau potable depuis plusieurs mois.
Les 3500 résidants de cette municipalité de Lanaudière pourraient réclamer 20 $ par jour depuis l'entrée en vigueur de l'avis d'ébullition, le 29 janvier dernier.
Le problème: le système d'aqueduc est complètement désuet et sa réfection coûterait quelque 40 millions $.
Source : Matinternet, l'article