8 août 2004- Baignade, risques sanitaires non signalés
Comment se présente alors la qualité de l’eau dans nos plages, nos piscines, nos cours d’eau et nos bains ?
Encore faudrait-il que les baigneurs soient informés et que les différentes stations soient signalisées, un devoir que les communes n’accomplissent nullement. La situation dans les piscines est des plus incontrôlées. Très peu d’opérateurs privés et encore moins de collectivités veillent à la qualité des eaux de baignade dans ces établissements ; de très nombreuses piscines posent un véritable problème de santé publique et doivent tout simplement être condamnées.
La baignade dans les cours d’eau et les lacs est toujours aux risques et périls de ceux qui la pratiquent. Quant aux bains publics, il a été établi que ces lieux constituent dans leur majorité de véritables milieux de culture bactérienne.
Source : L'opinion.ma, l'article

7 août 2004- 1/3 de votre eau passe dans les toilettes
Le tiers de l'eau utilisée dans la maison sert à actionner la chasse d'eau des toilettes lorsqu'elles sont à réservoir ordinaire.
Aussi, ce sont 13 litres d'eau qui s'écoulent à chaque coup de manette.
«Lorsqu'ils font des travaux de construction ou de rénovation, de nombreux consommateurs, soucieux d'économiser l'eau, en profitent pour se procurer des toilettes efficaces n'utilisant que six litres d'eau par chasse».
En Ontario et à Vancouver, ces dernières sont obligatoires dans toute nouvelle construction.
Source : cyberpresse.ca, l'article

5 août 2004- Réforme de la gestion de l'eau
La Ville de Montréal annonce un processus d’appels d’offres majeur et d’un type particulier visant à sélectionner les firmes qui auront à concevoir et à mettre en place trois programmes distincts qui constitueront les bases de la réforme de la gestion montréalaise de l’eau, soit :

1. la mise en place sur l’ensemble du territoire d’un plan directeur d’intervention pour les réseaux d’aqueduc et d’égout,
2. la mise à niveau des usines de production d’eau potable sur l’ensemble de territoire,
3. l’installation de compteurs d’eau dans l’ensemble des industries, commerces et institutions de l’île, ainsi que la conception et la mise en place de systèmes de relevés et de gestion des données de consommation d’eau de ces clientèles non résidentielles.

.../... Voir communiqué [accès par un lien dans la marge de cette page]
Source : Ville de Montréal, l'article

2 août 2004- L'Afrique ne manque pas d'eau
Selon l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture, le continent n’est pas en manque mais peine plutôt à optimiser l’exploitation de la précieuse ressource.
L’Afrique sub-saharienne ne manque pas d’eau. Par exemple le Congo, où il y a tellement d’eau et de terres cultivables qu’il pourrait nourrir tout le continent. Ce n’est pas le cas des pays du Maghreb, qui possèdent des installations hydrauliques de qualité, qui sont plus secs. Le problème de l’Afrique sub-saharienne est qu’elle ne maîtrise pas l’exploitation de l’eau.
L’une des raisons de cette sous-exploitation est que, depuis sept ou huit ans, les bailleurs de fonds sont réticents à investir dans les projets d’irrigation. Un retrait dû au fait que les Africains ne s’appuient pas en priorité sur les infrastructures modernes pour leurs activités agricoles (seuls 7% des terres arables sont irriguées en Afrique, d’après Jacques Diouf, directeur général de la FAO). Cet échec s’explique notamment par le fait que les systèmes d’irrigation impliquent une organisation, une collaboration et l’établissement d’un réseau de distribution de l’eau, dont les Africains n’ont pas encore l’habitude. Ils privilégient en priorité les cultures qui poussent très bien avec l’eau de pluie, comme les céréales et les tubercules.../...
Source : journal Temoignages.re, l'article

1er août 2004- Alimentation en eau potable
Les habitants de la commune de Thuong Vu, district de Kim Thanh, province de Hai Duong (Nord) ont désormais accès à l'eau propre. Un progrès qui découle des aides financières de l'Agence de l'eau Seine-Normandie et d'Aquassistance.
La construction de la station de traitement d'eau, d'une capacité de 50 m³ par heure, a démarré en mars 2003. En août, les ouvrages de génie civil et de canalisations dans la station seront terminés. En dehors de l'usine, il y a la station de pompage d'eau brute, située à 360 m de la digue de protection contre les crues, ainsi que le réseau de distribution d'une longueur de 24 km environ. Les travaux ont été achevés à la fin de l'année 2003 et expérimentés au début de 2004. Les résultats ont été satisfaisants et les analyses conformes aux normes du ministère de la Santé.
Source : journal Agence Vietnamienne d'Infomation, l'article