17 mars 1998 : Fédérico Mayor, directeur général de l' UNESCO, et Daniel Caille, président du "pôle eau" de la Générale des Eaux, signent un accord pour une meilleure gestion de l'eau dans le monde. La Générale des Eaux est ainsi la première entreprise privée avec laquelle cette institution passe un accord de partenariat dans le domaine de l'environnement.

Cette convention, conclue pour 3 ans, s'inscrit dans le cadre du programme hydrologique international de l'UNESCO. Elle débouche déjà sur des projets concrets.

Le premier prend corps à Kuala Lumpur, capitale de la Malaisie. Il associe trois partenaires : l'UNESCO, la Générale des Eaux, et une structure créée à l'initiative conjointe de l'UNESCO et du gouvernement malaisien : le Centre d'hydrologie et des ressources en eau dans les secteurs tropicaux humides d'Asie du Sud Est et du Pacifique.

Au programme de cette coopération : une série d'actions pour mieux gérer la ressource dans les régions tropicales humides que sont notamment la Malaisie, l'indonésie, les Philippines, le Vietnam, le Laos, le Cambodge, la Thaïlande et, pour partie, l'Australie et la Chine.

La contribution de la générale des Eaux se traduira notamment par la mise à disposition d'une dizaine de chercheurs, dont un à temps plein, et par un apport financier annuel de 500 000 F pendant les 3 années prévues.

Par l'accord de partenariat signé ce jour et le futur contrat malaisien, la Générale des Eaux marque avec force une double volonté : celle de mettre ses équipes de recherche au service d'une bonne gestion des ressources -problème crucial en Asie et dans le Pacifique- et celle de s'intégrer pleinement à la société civile des pays où sont implantés ses sites d'explotations, par des partenariats décentralisés, et des échanges nourris avec la communauté scientifique locale.